Si les Jeux à Teahupo’o ont permis de faire la promotion du pays à l’international, ils ont aussi nécessité le déploiement de la signalétique et de l’habillage visuel des JO dans toute la Polynésie. Alors quand la fête est finie, que fait-on des « restes » des JO 2024 au fenua ?
Paris a clos dimanche soir ses Jeux olympiques au terme de deux semaines de liesse populaire et de prouesses sportives, passant le relais à Los Angeles qui accueillera la prochaine édition en 2028.
Depuis son titre olympique, notre aito Kauli Vaast est entré dans une nouvelle dimension. Après avoir enchaîné les plateaux de télévision dans l’Hexagone, il a été reçu fièrement et chaleureusement par la communauté polynésienne à Paris.
Historique, et prometteur : jamais la France n'avait fait aussi bien aux JO, avec 16 titres et 64 médailles, mieux qu'à Atlanta il y a 28 ans, un résultat qui pourrait servir de tremplin pour le futur.
L'équipe de France de basket a fini par céder samedi face au talent et à la puissance de feu des Américains (98-87), déjà ses bourreaux il y a trois ans à Tokyo et qui, portés par Stephen Curry, remportent leur cinquième titre olympique consécutif, le 17e au total sur les 21 décernés.
Ils étaient entrés dans l'histoire à Tokyo, les voilà dans la légende : les volleyeurs français ont réussi l'immense et rare exploit de conserver leur titre de champions olympiques, en écrasant en finale les Polonais (3-0), samedi.
Depuis plusieurs jours, nombreux sont ceux à déplorer l'absence de Hira Teriinatoofa à Paris afin de célébrer la victoire de Kauli Vaast aux JO. C'est le post Facebook de la femme du préparateur de l'équipe de France qui a mis le feu aux foudres, avant d'être rapidement supprimé. Depuis, la Fédération Française de Surf (FFS) a réagi via un communiqué et Jérémy Florès s'est expliqué.
