Mais pour la première fois, la chambre est inoccupée. Le personnel de l’établissement a perdu sa trace. L’homme, inquiet, appelle alors sa fille qui lui donne un lieu de rendez-vous.
« Il y a quelques semaines, j’ai parlé avec Samantha, ma petite fille, et elle m’a laissé voir son tatouage. Lorsqu’elle est revenue de vacances, je me suis dit que c’était mon tour », raconte Sadie. En effet, la mamie n’a pas déserté sa maison de retraite pour faire du shopping, mais bien pour se faire tatouer.
Une fois sur le lieu de rendez-vous, Tony découvre sa mère dans un salon de tatouage, entourée de trois jeunes tatoueurs en train de s’occuper d’elle.
Saddie a avoué avec franchise n’en avoir « rien à fo**** » : « A mon âge, il faut vivre chaque jour comme si c’était le dernier », a-t-elle confié au tabloïd britannique The Daily Mirror. Quant à la douleur, elle en a vu d’autres, explique 7sur7.be. « J’ai demandé au tatoueur combien de temps cela allait-il durer. Il m’a alors répondu qu’il avait fini depuis cinq minutes. Je n’ai rien senti. Il a bien ri ».