Les lycées Charlemagne, Fénelon, Montaigne, Condorcet, Henri-IV et Louis-le-Grand ont reçu un coup de fil anonyme en milieu de matinée, entre 10H20 et 11H20 selon les cas, a-t-on indiqué de sources policières.
Ces appels, quasiment identiques, indiquaient que des colis piégés se trouvaient au sein des établissements, selon le rectorat de Paris. L’alerte à la bombe a été levée à la mi-journée à Fénelon, Montaigne et Condorcet, en accord avec la préfecture de police, a-t-il précisé. L’académie de Paris a précisé que l’alerte avait aussi été levée à Henri-IV.
En fin d’après-midi, le rectorat a annoncé que la levée de l’alerte concernait désormais la totalité des six établissements, « en accord avec la Préfecture de police ».
« Le proviseur est passé dans les classes pour nous demander de sortir de la pièce et de ne pas sortir de l’établissement. Nous sommes allés dans le calme dans les cours (de récréation). Il n’y a eu aucune panique », raconte Inès, 20 ans, élève de classe préparatoire à Fénelon.
Ceux qui n’avaient plus classe ont finalement été autorisés à quitter le lycée vers 14H00 et les cours reprenaient normalement pour les autres élèves, a-t-elle ajouté.
Trois voitures de police étaient stationnées à proximité de cet établissement du centre de Paris.
Selon le rectorat, les élèves ont été dans un premier temps confinés, c’est-à-dire regroupés à l’abri selon les plans de sécurité adaptés à chaque établissement, en attendant l’arrivée de la police qui cherchait d’éventuels colis suspects.
Ces appels, quasiment identiques, indiquaient que des colis piégés se trouvaient au sein des établissements, selon le rectorat de Paris. L’alerte à la bombe a été levée à la mi-journée à Fénelon, Montaigne et Condorcet, en accord avec la préfecture de police, a-t-il précisé. L’académie de Paris a précisé que l’alerte avait aussi été levée à Henri-IV.
En fin d’après-midi, le rectorat a annoncé que la levée de l’alerte concernait désormais la totalité des six établissements, « en accord avec la Préfecture de police ».
« Le proviseur est passé dans les classes pour nous demander de sortir de la pièce et de ne pas sortir de l’établissement. Nous sommes allés dans le calme dans les cours (de récréation). Il n’y a eu aucune panique », raconte Inès, 20 ans, élève de classe préparatoire à Fénelon.
Ceux qui n’avaient plus classe ont finalement été autorisés à quitter le lycée vers 14H00 et les cours reprenaient normalement pour les autres élèves, a-t-elle ajouté.
Trois voitures de police étaient stationnées à proximité de cet établissement du centre de Paris.
Selon le rectorat, les élèves ont été dans un premier temps confinés, c’est-à-dire regroupés à l’abri selon les plans de sécurité adaptés à chaque établissement, en attendant l’arrivée de la police qui cherchait d’éventuels colis suspects.
AFP