Chaque année la première danse du lion se fait au temple Kanti, et la deuxième danse se fait au siège de l’association Si Ni Tong. L’année du coq de feu marque un nouveau tournant dans l’histoire de la communauté sino tahitienne. L’année passée a été célébré les 150 ans de l’arrivée des premiers chinois en Polynésie. De nouveaux éléments viennent consolider ce pan de l’histoire du fenua.
Roland Sam, président de l’association Varua Tupuna Taina, nous en dit plus. « Ce n’est qu’une partie de l’exposition, la grande exposition se tiendra au CESC, le mardi 31 janvier. Cette expo raconte l’installation de la première vague de l’immigration chinoise à Tahiti, les 1010 premiers chinois qui ont travaillé à Atimaon. »
Cerise sur le gâteau, les photos des trois navires sur lesquels sont arrivés ces premiers migrants, ont été retrouvés après deux ans de recherche.
A partir de lundi, le public pourra découvrir une exposition exceptionnelle. Le recensement de toutes les familles issues des premiers chinois arrivés en Polynésie. Chaque souche est déterminée par un symbole commun: un siang ou nom patronymique.
Pour Guy Yeung, membre de l’association Si Ni Tong, « Le siang est fondamental. Le siang, c’est le nom patronymique écrit en caractères chinois. Il y a eu un recensement qui a eu lieu en 1945 quand le premier de consul de Chine est venu s’installer en Polynésie. A l’époque il y avait 91 siang ». Depuis, ces 91 siang ont engendré de nombreuses familles, chinoise ou polynésiennes. Alors si vous êtes à la recherche de votre ascendance vous savez où chercher.
Cette exposition se tiendra au Kwon Men Tong jusqu’à vendredi prochain avant de devenir itinérante.
Roland Sam, président de l’association Varua Tupuna Taina, nous en dit plus. « Ce n’est qu’une partie de l’exposition, la grande exposition se tiendra au CESC, le mardi 31 janvier. Cette expo raconte l’installation de la première vague de l’immigration chinoise à Tahiti, les 1010 premiers chinois qui ont travaillé à Atimaon. »
Cerise sur le gâteau, les photos des trois navires sur lesquels sont arrivés ces premiers migrants, ont été retrouvés après deux ans de recherche.
A partir de lundi, le public pourra découvrir une exposition exceptionnelle. Le recensement de toutes les familles issues des premiers chinois arrivés en Polynésie. Chaque souche est déterminée par un symbole commun: un siang ou nom patronymique.
Pour Guy Yeung, membre de l’association Si Ni Tong, « Le siang est fondamental. Le siang, c’est le nom patronymique écrit en caractères chinois. Il y a eu un recensement qui a eu lieu en 1945 quand le premier de consul de Chine est venu s’installer en Polynésie. A l’époque il y avait 91 siang ». Depuis, ces 91 siang ont engendré de nombreuses familles, chinoise ou polynésiennes. Alors si vous êtes à la recherche de votre ascendance vous savez où chercher.
Cette exposition se tiendra au Kwon Men Tong jusqu’à vendredi prochain avant de devenir itinérante.
Rédaction Web avec Mata Ihorai et Sam Teinaore