O Mana, c’est le nom donné à cette nouvelle association. Des danseurs, des musiciens ou encore des créateurs locaux ont décidé de s’unir. Objectif : montrer que la culture peut survivre à la crise : « le but s’est véritablement de se dire qu’on ne peut plus fonctionner seuls, chacun dans son coin. Et que, avec la crise aujourd’hui, il nous faut trouver de nouvelles alternatives. O Mana en est une. C’est une belle opportunité pour nous de mutualiser nos outils, nos façons de faire, nos façons de créer nos danses« , explique Matani Kainuku.
Et l’association en a fait une belle démonstration ce samedi au centre Vaima. Aparima, otea, démonstration de percussions ou encore de confection de couronnes ont animés la matinée. Pour être plus fort face à la crise, O Mana annonce également la création d’une nouvelle plateforme numérique « qui sera accessible au public et à l’international aussi. Sans se déplacer, on peut vivre notre culture, et ça nous permet de poursuivre nos activités autrement. »
Pour fêter la mise en place de cette nouvelle plateforme et se faire connaitre, l’association O Mana organisera des festivités le 22 octobre prochain. Un bel exemple d’union face à la pandémie mondiale.
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