Il est arrivé à Hawaii il y a 15 ans en tant qu’étudiant, il s’y est installé et y a fondé une famille. Mais pourtant Manarii n’a pas mis de côté sa culture tahitienne. Il mène le groupe Tahiti Mana, qu’il a fondé avec sa femme depuis 6 ans. Nanili Gauthier est Hawaiienne mais le ‘ori est devenue sa passion, elle s’occupe des chorégraphies des filles. « Nous nous rendons souvent à Tahiti, nous essayons d’apprendre un maximum pour pouvoir enseigner ici par la suite, nous avons une communauté tahitienne sympa ici, on se rencontre assez souvent. »
La plupart des danseurs sont étudiants… entre les cours ils trouvent le temps de répéter et se produisent aussi à diverses occasions.
Mais une des raisons qui poussent les étudiants tahitiens à danser c’est la recherche identitaire. « Quand je rentre, j’essaie d’aller à la période du Heiva. Petit à petit j’apprends plus de choses. Quand je vivais à Tahiti je ne savais pas tout ça », explique une jeune Tahitienne.
En plus du ‘ori, Manarii s’est fixé un nouvel objectif, celui de promouvoir les sports traditionnels ici. Depuis 2 ans il participe avec son équipe Hawaiienne aux championnats des Tu’aro ma’ohi à Tahiti. « Il faut que les gens voient que le Heiva, ce n’est pas que les danses. »
La plupart des danseurs sont étudiants… entre les cours ils trouvent le temps de répéter et se produisent aussi à diverses occasions.
Mais une des raisons qui poussent les étudiants tahitiens à danser c’est la recherche identitaire. « Quand je rentre, j’essaie d’aller à la période du Heiva. Petit à petit j’apprends plus de choses. Quand je vivais à Tahiti je ne savais pas tout ça », explique une jeune Tahitienne.
En plus du ‘ori, Manarii s’est fixé un nouvel objectif, celui de promouvoir les sports traditionnels ici. Depuis 2 ans il participe avec son équipe Hawaiienne aux championnats des Tu’aro ma’ohi à Tahiti. « Il faut que les gens voient que le Heiva, ce n’est pas que les danses. »
Ce week-end a lieu la 2e édition du Heiva i Vaihi, avec une compétition de sports traditionnels. Pour l’occasion une délégation du fenua fait le déplacement. Parmi eux, la troupe des Tamariki Poerani.
Rédaction web avec Matahi Tutavae