L’humoriste a également invité plusieurs d’entre eux à assister à son spectacle comme il s’y était engagé lorsque nous l’avions reçu sur notre plateau. Ils sont venus pour se changer les idées et surtout passer une bonne soirée.
Durant près de 2h, Smaïn va rire de tout… du racisme, de l’abandon qu’il a connu enfant ou encore de la perte d’identité. Comme un besoin d’être de nouveau adopté.
« J’ai envie de défendre le vivre ensemble, l’humour, le rire, pour le rapprochement ». Pour Smain, le public est identique à ce que tu lui donnes. « Si tu te donnes entièrement, le public te le rend. Et je tente, humblement, sur scène de rentrer en communion avec le public. Et si le public me le rend, alors c’est gagné. »
L’humoriste a su enthousiasmer son auditoire, 500 spectateurs qui n’ont pas boudé leur plaisir. Certains étaient venus pour assister au show d’un humoriste qu’ils apprécient, d’autres par solidarité avec les sinistrés mais tous sont repartis conquis.
A l’image de Smaïn, conquis par le public polynésien. « Super, je suis très content, le public était très attentif et puis je pense que lorsque l’on joue avec le sourire, et que l’on aime son métier, on communique tout de suite ».
Durant près de 2h, Smaïn va rire de tout… du racisme, de l’abandon qu’il a connu enfant ou encore de la perte d’identité. Comme un besoin d’être de nouveau adopté.
« J’ai envie de défendre le vivre ensemble, l’humour, le rire, pour le rapprochement ». Pour Smain, le public est identique à ce que tu lui donnes. « Si tu te donnes entièrement, le public te le rend. Et je tente, humblement, sur scène de rentrer en communion avec le public. Et si le public me le rend, alors c’est gagné. »
L’humoriste a su enthousiasmer son auditoire, 500 spectateurs qui n’ont pas boudé leur plaisir. Certains étaient venus pour assister au show d’un humoriste qu’ils apprécient, d’autres par solidarité avec les sinistrés mais tous sont repartis conquis.
A l’image de Smaïn, conquis par le public polynésien. « Super, je suis très content, le public était très attentif et puis je pense que lorsque l’on joue avec le sourire, et que l’on aime son métier, on communique tout de suite ».
Rédaction Web avec Esther Parau Cordette