Dans son allocution, alors qu’il rappelait tous les efforts accomplis par la Polynésie française pour la protection et la gestion de ses espaces et de ses espèces, Cédric Ponsonnet a ajouté que tout cela ne pouvait pas suffire si, dans les eaux internationales, les abus se poursuivent et menacent les équilibres établis dans les zones économiques exclusives des pays.
Il n’est ainsi pas juste de demander aux pays insulaires de porter des efforts supplémentaires de conservation, alors que par ailleurs ils sont les premières victimes du changement climatique et de la surpêche qui ne sont pas de leur fait.