Ce dimanche, René Bidal salue « l’aboutissement de cette brillante et longue enquête de la gendarmerie nationale qui, en effet, a duré plusieurs mois » et qui a permis de révéler « au grand public la capacité locale de fabriquer des méthamphétamines (Ice). Ce n’est évidemment pas une bonne nouvelle, même si les services veillent, exploitent les renseignements et diligentent les enquêtes ».
Le représentant de l’Etat en Polynésie réaffirme la « détermination sans concession, partagée avec l’exécutif du Pays, de lutter contre toutes les addictions, conformément aux engagements qui ont été pris lors de la signature du plan de prévention de la délinquance. »
« L’ice est, en Polynésie, l’expression la plus aboutie du fléau de la drogue, c’est aussi le plus ravageur, tant il conduit une personne, sans échappatoire possible, à une dépendance très forte mais courte, car cette drogue tue rapidement après une déchéance physique et psychologique ravageuse et dégradante qui est vécue comme une torture par l’entourage affectif de celui ou celle qui est tombé dans son piège », estime René Bidal.
Rédaction web avec communiqué