Contrairement au 1er tour, les mairies ont pris leurs dispositions pour contrôler le flux de votants. Mais à Papeete, il fallait s’armer de patience pour rejoindre l’unique bureau de vote.
Bien que le vote ne soit pas obligatoire, ces électeurs ne reculent devant rien pour montrer leur préférence envers tel ou tel candidat. Pas même devant une file d’attente qui semble interminable. Ce n’est pas non plus la chaleur étouffante qui les en dissuadera. Mais la patience a parfois ses limites. « J’attends depuis 8 heures ce matin. Et il est déjà 9h30. Ma fille est descendue. Elle ne peut plus attendre à cause du bébé » explique une électrice.
Ambiance un peu plus décontractée à Pirae. Les électeurs ont le sourire et le maire aussi. Edouard Fritch a pu voter une heure après l’ouverture des bureaux. L’organisation s’est nettement améliorée par rapport au premier tour.
Punaauia aussi a pris les devants pour mieux contrôler le flux de votants. Avec un seul bureau de vote, l’électorat est partagé en deux files et par ordre alphabétique. Et si la circulation est fluide, tout comme à Pirae, les électeurs se sont mobilisés beaucoup plus fortement.
« On a changé le dispositif parce que l’on s’est aperçu samedi dernier qu’il y avait vraiment une file de personnes qui embouteillait l’entrée du bureau de vote. (…) Il y a une file de noms qui vont de A à N et une autre de O à Z, c’est plus fluide. Je pense qu’on devrait dépasser le nombre de votants de samedi dernier. On devrait approcher les 2000 votants cette fois-ci » conclut, visiblement satisfait, Rony Tumahai, le maire de Punaauia.
C’est la première fois que la droite désigne son candidat à la présidentielle à l’aide d’une primaire ouverte à tous les électeurs (à condition toutefois d’affirmer partager les valeurs de la droite et du centre). Demain, nous saurons qui, de François Fillon ou d’Alain Juppé, sera le champion de la droite. Les premiers résultats partiels sont attendus vers 21h ce samedi en Polynésie.
Bien que le vote ne soit pas obligatoire, ces électeurs ne reculent devant rien pour montrer leur préférence envers tel ou tel candidat. Pas même devant une file d’attente qui semble interminable. Ce n’est pas non plus la chaleur étouffante qui les en dissuadera. Mais la patience a parfois ses limites. « J’attends depuis 8 heures ce matin. Et il est déjà 9h30. Ma fille est descendue. Elle ne peut plus attendre à cause du bébé » explique une électrice.
Ambiance un peu plus décontractée à Pirae. Les électeurs ont le sourire et le maire aussi. Edouard Fritch a pu voter une heure après l’ouverture des bureaux. L’organisation s’est nettement améliorée par rapport au premier tour.
Punaauia aussi a pris les devants pour mieux contrôler le flux de votants. Avec un seul bureau de vote, l’électorat est partagé en deux files et par ordre alphabétique. Et si la circulation est fluide, tout comme à Pirae, les électeurs se sont mobilisés beaucoup plus fortement.
« On a changé le dispositif parce que l’on s’est aperçu samedi dernier qu’il y avait vraiment une file de personnes qui embouteillait l’entrée du bureau de vote. (…) Il y a une file de noms qui vont de A à N et une autre de O à Z, c’est plus fluide. Je pense qu’on devrait dépasser le nombre de votants de samedi dernier. On devrait approcher les 2000 votants cette fois-ci » conclut, visiblement satisfait, Rony Tumahai, le maire de Punaauia.
C’est la première fois que la droite désigne son candidat à la présidentielle à l’aide d’une primaire ouverte à tous les électeurs (à condition toutefois d’affirmer partager les valeurs de la droite et du centre). Demain, nous saurons qui, de François Fillon ou d’Alain Juppé, sera le champion de la droite. Les premiers résultats partiels sont attendus vers 21h ce samedi en Polynésie.
Rédaction Web avec Esther Parau Cordette et Thierry Teamo