Mais tel Caliméro, le président déchu ne cesse de pleurnicher : « c’est vraiment trop injuste ». C’est toujours la faute des autres, le juge d’instruction, le Parquet, le président de la République, les méchants qui lui veulent du mal alors que « tout est faux « . « Mais au fil des audiences », poursuit le communiqué, « on décrypte surtout le système Flosse où les hommes d’affaires auront été constamment mis à contribution pour payer les dépenses personnelles de l’ancien président, qui pour régler les pensions alimentaires, qui pour acheter de la vaisselle. La confusion entre le bien privé et le bien public est totale ».
En conclusion, le parti d’Edouard Fritch déclare : « Quand Gaston Flosse prétend qu’il est le seul à pouvoir redresser le Pays, il n’a finalement de cesse de démontrer que ses intérêts personnels passent avant tout ».