Alors qu’une partie de leurs camarades de promotion s’envolait mardi, et l’autre, ce jeudi : trois reçus au concours de surveillants pénitentiaires, recalés pour leurs antécédents judiciaires, vont finalement partir, jeudi, pour suivre leur formation à l’école nationale de l’administration pénitentiaire.
Mais deux d’entre eux la suivront sans savoir s’ils iront jusqu’au bout…. Le tribunal administratif n’ayant pas rendu de décision définitive.
L’Etat est condamné à leur verser une indemnité de 150 000 Fcfp.