Depuis lundi, la marine nationale accueille la première session du projet « choisis ton cap ». Ce mardi matin, un groupe a appris à éteindre un feu, tandis qu’un autre s’est formé au montage et à l’utilisation du Famas, le fusil des militaires français.
Pierre Le Marre 17 ans, élève au Lycée de Taaone aimerait rentrer dans l’armée pour la « cohésion de groupe » mais aussi pour défendre les populations. Toucher un Famas ne l’a pas vraiment impressionné. S’il devient militaire, il serait prêt à tirer « si c’est pour se défendre ou défendre le groupe ».
Anais Mendelsohn, 16 ans, vient du Lycée de Papara. Elle aimerait plutôt travailler dans les bureaux, être secrétaire dans la marine. Ce sont des marins, qui sont venus expliquer leur travail dans son lycée, qui lui ont donné cette idée. « Je m’intéresse beaucoup à l’armée. C’est un autre univers, explique la jeune fille.
Pierre Le Marre 17 ans, élève au Lycée de Taaone aimerait rentrer dans l’armée pour la « cohésion de groupe » mais aussi pour défendre les populations. Toucher un Famas ne l’a pas vraiment impressionné. S’il devient militaire, il serait prêt à tirer « si c’est pour se défendre ou défendre le groupe ».
Anais Mendelsohn, 16 ans, vient du Lycée de Papara. Elle aimerait plutôt travailler dans les bureaux, être secrétaire dans la marine. Ce sont des marins, qui sont venus expliquer leur travail dans son lycée, qui lui ont donné cette idée. « Je m’intéresse beaucoup à l’armée. C’est un autre univers, explique la jeune fille.
La préparation militaire marine, la PMM, existe depuis quelques années déjà, mais c’est la première fois qu’elle pousse aussi les portes des écoles. 5 établissements de Tahiti ont déjà signés une convention de partenariat.
Les métiers de la Marine sont encore méconnus des jeunes polynésiens. Ils seraient seulement une cinquantaine par an à s’engager. La seconde session de la PMM s’ouvrira au mois de novembre. Les prochaines inscriptions auront lieu au septembre l’année prochaine.
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