Le développement de la Polynésie passe par l’économie bleue. La Polynésie est dotée d’un immense territoire marin qui couvre près de 5 millions de km2. Ce qui porte la zone économique exclusive française en 2e position mondiale derrière les États-Unis.
Force est de constater que le poids économique des activités liées à la mer reste modéré au regard du potentiel. En 2015, hors tourisme, l’économie maritime a généré un chiffre d’affaires de 39 milliards de Fcfp, soit 5 % du chiffre d’affaires global du Pays. C’est peu, mais elle concentre 4850 emplois directs.
La perle et la pêche représentent l’essentiel des biens maritimes exportés. Les produits perliers sont les principaux produits exportés : avec 7,6 milliards de Fcfp de recettes, ils constituent 79% des exportations bleues. Les produits de la pêche (poissons, mollusques) constituent le deuxième poste d’exportation (20% au total). Pour les entrepreneurs, la Polynésie peut faire mieux notamment dans le secteur de la pêche comme nous le précise Stéphane Chin Loy au micro de Tahiti Nui Télévision : « Nous avons passé 10 années assez difficiles avec une sinistrose de la pêche, un manque de pêche donc il est temps de faire le point pour les 10 années à venir, de doubler le quota de prises et passer de 6 000 à 12 000 tonnes », un challenge qu’il est possible de relever, toujours selon Stéphane Chin Loy
Force est de constater que le poids économique des activités liées à la mer reste modéré au regard du potentiel. En 2015, hors tourisme, l’économie maritime a généré un chiffre d’affaires de 39 milliards de Fcfp, soit 5 % du chiffre d’affaires global du Pays. C’est peu, mais elle concentre 4850 emplois directs.
La perle et la pêche représentent l’essentiel des biens maritimes exportés. Les produits perliers sont les principaux produits exportés : avec 7,6 milliards de Fcfp de recettes, ils constituent 79% des exportations bleues. Les produits de la pêche (poissons, mollusques) constituent le deuxième poste d’exportation (20% au total). Pour les entrepreneurs, la Polynésie peut faire mieux notamment dans le secteur de la pêche comme nous le précise Stéphane Chin Loy au micro de Tahiti Nui Télévision : « Nous avons passé 10 années assez difficiles avec une sinistrose de la pêche, un manque de pêche donc il est temps de faire le point pour les 10 années à venir, de doubler le quota de prises et passer de 6 000 à 12 000 tonnes », un challenge qu’il est possible de relever, toujours selon Stéphane Chin Loy
Rédaction Web (Avec Communiqué)