Depuis des années les malades et les descendants des premiers lépreux qui vivent encore à Orofara ne cessent de demander de l’aide pour rénover leurs habitations. Une question qui jusqu’ici n’a pas trouvé de réponse, à cause du foncier.
Un repas a été servi en l’honneur des 6 derniers lépreux vivant encore au village de Orofara. Lina elle, est arrivée à Ororfara en 1947, elle est la seule parmi les convives qui vit désormais dans sa famille.
Lina Keou , Malade de la lèpre, confie : « J’avais 7 ans quand je suis arrivée ici. Il y avait des infirmières et des docteurs… C’était bien … Orofara était propre à cette époque. Les maisons étaient en bon état il y avait tout ce qu’il faut (…) Orofara est devenu sale, ce n’est plus comme avant… »
28 familles soit 112 personnes vivent ici au village d’Orofara. Ce sont les descendants des premiers lépreux. Aujourd’hui, ils réclament de l’aide, pour rénover leurs habitations.
Le problème a déjà été relevé plusieurs fois. La municipalité tente de trouver une solution avec le pays.
Damas Teuira, Maire de Mahina souligne : « ce qu’il manque… c’est qu’on arrive a trouvé un consensus entre les dispositions foncières ici et la capacité à aider ces familles-là … pour restaurer leur maison. »
Un repas a été servi en l’honneur des 6 derniers lépreux vivant encore au village de Orofara. Lina elle, est arrivée à Ororfara en 1947, elle est la seule parmi les convives qui vit désormais dans sa famille.
Lina Keou , Malade de la lèpre, confie : « J’avais 7 ans quand je suis arrivée ici. Il y avait des infirmières et des docteurs… C’était bien … Orofara était propre à cette époque. Les maisons étaient en bon état il y avait tout ce qu’il faut (…) Orofara est devenu sale, ce n’est plus comme avant… »
28 familles soit 112 personnes vivent ici au village d’Orofara. Ce sont les descendants des premiers lépreux. Aujourd’hui, ils réclament de l’aide, pour rénover leurs habitations.
Le problème a déjà été relevé plusieurs fois. La municipalité tente de trouver une solution avec le pays.
Damas Teuira, Maire de Mahina souligne : « ce qu’il manque… c’est qu’on arrive a trouvé un consensus entre les dispositions foncières ici et la capacité à aider ces familles-là … pour restaurer leur maison. »
Cette année 3 associations de Mahina se sont jointes aux organisateurs que sont la commune et les habitants de Orofara, pour que les derniers lépreux puissent passer un moment festif.
Rédaction Web (Reportage Thierry Teamo)
Titaua Deweerdt-Manafenuaroa , Présidente association « te ui taurea no Orofara »
Damas Teuira, Maire de Mahina