D’abord surveillant, professeur, puis directeur d’école, Michel est ensuite devenu journaliste. De son temps seul représentant du journal Le Monde pour la zone Pacifique Sud, il a également travaillé pour Les Nouvelles de Tahiti, avec un penchant pour les sujets relevant de la politique.
« D’ailleurs, certains craignaient son nom dans ce milieu », témoigne sa fille, Vaimiti, dans un hommage sur les réseaux sociaux. Ami proche d’Alex du Prel, Michel Yieng Kow a aussi régulièrement écrit pour le Tahiti Pacifique Magazine.
Il a également travaillé chez RFO et dans quelques radios, mais aussi chez Tahiti Nui Télévision, où il a occupé un temps la fonction de directeur d’antenne.
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« Mais il a fait trop de vagues. Secoué trop de cocotiers. Tapé trop fort dans les fourmilières. Il est resté au fait de l’actualité mais à distance, depuis Copenhague qu’il chérissait. […] Il y a vécu de longues années […], puis il est revenu ici, exténué de cette vie », écrit sa fille.
En raison de la situation sanitaire actuelle, aucune veillée n’est prévue. L’inhumation se fera mercredi 1er septembre à 10h00, au cimetière de l’Uranie.