Nicolas Marcilloux est un tagueur en herbe. Vainqueur d’un concours mis en place par la commune de Uturoa, il décore les murs du skate park de la capitale de Raiatea.
Pour lui la passion devient réalité. Armé de bombes de peinture, d’un gant, d’une paire de lunette et de la musique dans les oreilles il a commencé sa création. Un challenge de taille, avec près de 150 mètres de mur à couvrir, sur plus de deux mètres de haut, pour un budget de 800 000 Fcfp. La pêche, la pirogue, le surf, le skate, le workout… Dans ses Tag, Nicolas Marcilloux respecte au mieux les doléances de la commune. L’idée maîtresse consiste en effet à valoriser les sports exercés sur le site Toahurnihi et plus largement à Uturoa, comme l’explique dans ce reportage Manui Vesco chargé de la (promotion du site. Une des 4 façades du skatepark est réservée pour le festival de la glisse. Un professionnel de métropole pourrait faire le déplacement en Polynésie française à cette occasion.
Pour lui la passion devient réalité. Armé de bombes de peinture, d’un gant, d’une paire de lunette et de la musique dans les oreilles il a commencé sa création. Un challenge de taille, avec près de 150 mètres de mur à couvrir, sur plus de deux mètres de haut, pour un budget de 800 000 Fcfp. La pêche, la pirogue, le surf, le skate, le workout… Dans ses Tag, Nicolas Marcilloux respecte au mieux les doléances de la commune. L’idée maîtresse consiste en effet à valoriser les sports exercés sur le site Toahurnihi et plus largement à Uturoa, comme l’explique dans ce reportage Manui Vesco chargé de la (promotion du site. Une des 4 façades du skatepark est réservée pour le festival de la glisse. Un professionnel de métropole pourrait faire le déplacement en Polynésie française à cette occasion.