« Il y a une manière de faire, une technique à acquérir pour faire correctement du Polynésien » affirme Chris, un tatoueur belge en déplacement à Tahiti pour en apprendre d’avantage. En Belgique, le marquisien, le lettrage, et le tiki sont les motifs polynésiens les plus demandés et ils ne s’improvisent pas.
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Séduit par la puissance du motif polynésien lors de sa première participation au Tatau festival en 2008, Chris rêve que les tatoueurs du fenua lui transmettent un peu de savoir faire. « L’apprentissage est compliqué, personne ne veut dire son secret ! Mais j’ai des secrets d’Europe comme la manière de faire les ombrages ou les couleurs, et on fait des échanges » témoigne le tatoueur belge.
La quatrième édition de la convention Polynesia Tatau se termine aujourd’hui, dimanche.