Raimiti Ravello, c’est l’artiste qui cartonne en ce moment. Adepte des réseaux sociaux, il se filme et partage avec ses internautes ses peintures. Raimiti est le petit-fils de François Ravello, artiste peintre. Mais ce n’est pas son illustre parent qui lui a donné envie de peindre.
Le jeune homme a commencé à s’intéresser à l’art par le graffiti. Celui qui est aujourd’hui également professeur d’arts plastiques au collège Henri Hiro détestait les cours d’art. Il a d’ailleurs passé un baccalauréat scientifique. « Il fallait faire des études. Donc je me suis dit : j’ai fait un bac scientifique, je continue dans les sciences. Ce qui fait que je suis allé à l’Université pour suivre une filière en physique chimie et maths, que j’ai abandonné au bout de 6 mois, parce que l’appel de la peinture était trop forte », raconte-t-il.
Raimiti a tout appris tout seul. « Je ne savais pas du tout dessiner. J’ai commencé par le graff et ça m’a bien plu. J’ai commencé à développer mon graphisme, le dessin, les couleurs », explique le jeune homme de 27 ans. Mais le graff pose quelques problème de légalité… Raimiti décide donc de changer de support. Il s’intéresse alors à la peinture sur toile.
C’est grâce à Facebook qu’il a choisi de se spécialiser dans les portraits. « Facebook a fait que, d’une façon totalement naturelle, les gens ont commencé à me contacter. Ma page Facebook je l’ai commencée il y a à peu près 1 an. J’ai commencé à partager mon travail sur Facebook. C’est quand même un outil que les gens utilisent pas mal au quotidien. C’est là où l’attention des gens est au quotidien. Les gens ont commencé à me contacter et là mon travail a pris une tournure complètement différente. Mon style aujourd’hui ce sont les gens », confie le jeune artiste.
Raimiti a tout appris tout seul. « Je ne savais pas du tout dessiner. J’ai commencé par le graff et ça m’a bien plu. J’ai commencé à développer mon graphisme, le dessin, les couleurs », explique le jeune homme de 27 ans. Mais le graff pose quelques problème de légalité… Raimiti décide donc de changer de support. Il s’intéresse alors à la peinture sur toile.
C’est grâce à Facebook qu’il a choisi de se spécialiser dans les portraits. « Facebook a fait que, d’une façon totalement naturelle, les gens ont commencé à me contacter. Ma page Facebook je l’ai commencée il y a à peu près 1 an. J’ai commencé à partager mon travail sur Facebook. C’est quand même un outil que les gens utilisent pas mal au quotidien. C’est là où l’attention des gens est au quotidien. Les gens ont commencé à me contacter et là mon travail a pris une tournure complètement différente. Mon style aujourd’hui ce sont les gens », confie le jeune artiste.
Aujourd’hui, Facebook, Instagram et aussi Snapchat sont ses alliés. Pour lui les réseaux sociaux sont un « moyen moderne de partager » sa pratique et de rendre son art accessible au plus grand nombre. « Ce qui est génial c’est que ça permet de partager mes aventures, ma pratique, mes ressentis avec 10 000 personnes en un clic. A l’époque de mon grand-père cela n’existait pas. Tu ne pouvais partager ta peinture qu’avec les personnes qui étaient en face de ta peinture. Je trouve qu’on vit une époque formidable », s’enthousiasme Raimiti.
Partager, et pas seulement sur les réseaux sociaux. Raimiti tient à rencontrer ses modèles, et ses fans aussi. « C’est très important pour moi, quand techniquement c’est possible. Il y a certains cas où les personnes ne sont plus présentes. Comme Sandy Ellacott. Je n’ai jamais eu la chance de le rencontrer. Mais quand cela est possible c’est important pour moi de rencontrer les gens, de discuter avec eux et de comprendre pourquoi le projet est important pour eux », explique le peintre.
D’ailleurs, Raimiti a pour projet d’exposer de nouveau, après 2 ans d’absence dans les galeries d’art. Il veut rencontrer ceux qui suivent son travail sur la toile polynésienne, rassembler ses fans, ses modèles et toutes ses oeuvres dans un même lieu. L’artiste espère faire aboutir ce projet d’ici la fin de l’année.
D’ailleurs, Raimiti a pour projet d’exposer de nouveau, après 2 ans d’absence dans les galeries d’art. Il veut rencontrer ceux qui suivent son travail sur la toile polynésienne, rassembler ses fans, ses modèles et toutes ses oeuvres dans un même lieu. L’artiste espère faire aboutir ce projet d’ici la fin de l’année.
Manon Kemounbaye
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