Bruno Pauletta, propriétaire de l’agence Brave, est venu observer les mannequins en herbe, avant la soirée. « Ce matin on rencontre les mannequins et on les voit sans maquillage, à la lumière du jour -c’est très important- sans talons et en bikini. Comme ça on vérifie exactement les mesures, la photogénie… Un peu tout. (…) On va se faire une idée de qui sont les potentielles qui sont prêtes tout de suite, celles qui seront prêtes peut-être dans 6 mois, 1 an parce qu’elles sont petites, doivent grandir etc. (…) », explique le professionnel. Et cette année, selon lui, « il y a une sélection très très bonne ». Le choix risque donc d’être difficile.
Alberto Vivian, à l’initiative de la Tahiti Fashion Week
Bruno Pauletta, propriétaire de l’agence italienne de mannequinat Brave