Les associations Haapape A Ara, Te Tu’ana no Mahina et Tomite Fenua No Tuauru estiment que le tavana cherche à les tromper en leur faisant signer des conventions qui, selon elles, aboutiraient à l’expropriation de certains habitants de la vallée.
« C’est une tromperie évidente pour les propriétaires. Le maire de Mahina se permet de transmettre cette convention pour les exproprier mais sans l’expliciter. Quand on exproprie une personne, que cela se fasse en toute transparence », s’agace Denis Helme. Et celui-ci d’ajouter : « c’est bien beau de dire du mal de l’ancien conseil municipal mais celui-ci n’est pas mieux ».
Denis Helme et les membres des associations concernées disent attendre d’être reçus par le maire pour évoquer le sujet lors d‘une réunion publique. S’il ne le faisait pas, ils entendent « organiser eux-mêmes » la réunion « pour avoir l’avis des propriétaire » : « Est-ce qu’on dépose une plainte contre le maire ou pas ? Il faut l’accord de toutes les familles ».
Damas Teuira, de son côté, reste droit dans ses bottes. « Ce ne sont que des conventions de passage. Il n’a jamais été question d’expropriation », affirme-t-il.
« Je crois qu’il y a un problème avec monsieur Denis Helme. C’est tout (…) J’ai lu le courrier qu’il m’a adressé avec des menaces à l’intérieur. J’informe déjà la population que je ne répondrai pas aux menaces de ce monsieur (…) Je l’invite à m’attaquer au tribunal et on verra le bien-fondé de son action », a-t-il encore déclaré.
Le tavana estime que ce projet de galerie drainante est « viable » et qu’il participera à « équilibrer les comptes du budget de l’eau » de la commune en difficulté financière.
Le coût annuel d’exploitation des pompes hydrauliques s’établit aujourd’hui à 90 millions de francs et « la galerie drainante va permettre un gain de 25 millions ».
« Un jour, il -Denis Helme, Ndlr- faut qu’il se mette dans la peau d’un tavana. Il va savoir ce que c’est que d’être maire », a-t-il conclu.
« C’est une tromperie évidente pour les propriétaires. Le maire de Mahina se permet de transmettre cette convention pour les exproprier mais sans l’expliciter. Quand on exproprie une personne, que cela se fasse en toute transparence », s’agace Denis Helme. Et celui-ci d’ajouter : « c’est bien beau de dire du mal de l’ancien conseil municipal mais celui-ci n’est pas mieux ».
Denis Helme et les membres des associations concernées disent attendre d’être reçus par le maire pour évoquer le sujet lors d‘une réunion publique. S’il ne le faisait pas, ils entendent « organiser eux-mêmes » la réunion « pour avoir l’avis des propriétaire » : « Est-ce qu’on dépose une plainte contre le maire ou pas ? Il faut l’accord de toutes les familles ».
Damas Teuira, de son côté, reste droit dans ses bottes. « Ce ne sont que des conventions de passage. Il n’a jamais été question d’expropriation », affirme-t-il.
« Je crois qu’il y a un problème avec monsieur Denis Helme. C’est tout (…) J’ai lu le courrier qu’il m’a adressé avec des menaces à l’intérieur. J’informe déjà la population que je ne répondrai pas aux menaces de ce monsieur (…) Je l’invite à m’attaquer au tribunal et on verra le bien-fondé de son action », a-t-il encore déclaré.
Le tavana estime que ce projet de galerie drainante est « viable » et qu’il participera à « équilibrer les comptes du budget de l’eau » de la commune en difficulté financière.
Le coût annuel d’exploitation des pompes hydrauliques s’établit aujourd’hui à 90 millions de francs et « la galerie drainante va permettre un gain de 25 millions ».
« Un jour, il -Denis Helme, Ndlr- faut qu’il se mette dans la peau d’un tavana. Il va savoir ce que c’est que d’être maire », a-t-il conclu.
Rédaction Web avec Brandy Tevero