Patoia Teriipaia joue au Tennis Club de Raiatea depuis tout petit. Aujourd’hui, son rêve est de devenir moniteur, mais pour cela, il lui faut valider sa formation.
« Pour l’obtention de ce diplôme, on me demande de mettre en place un projet pour répondre à un besoin de mon club, explique-t-il. Pour ça, j’ai invité huit joueurs de Tahiti, quatre hommes et quatre femmes, qui viennent ici pour redynamiser le tournoi. »
Un engagement qui réjouit Jean-Louis Deguarra, le président du Tennis Club de Raiatea. Décoré du label club formateur 3 étoiles, le club ne peut que s’épanouir davantage si Patoia devient diplômé d’Etat, et Jean-Louis s’en réjouit déjà.
« C’est une première, je suis très fier et très heureux que Patoia, de tout petit, maintenant c’est lui qui va être le BE, c’est-à-dire le breveté national qui va être à la disposition du club. Il est certain que nous allons avoir beaucoup plus de débouché des enfants, une notoriété plus forte et en tant que président de club, c’est une réussite totale. »
D’ailleurs, pour sa première initiative, Patoia bouscule les habitudes. Il remet en route le tournoi Criterium et se permet même d’ajouter une nouvelle catégorie, celle des femmes.
Pour la présidente de la Fédération tahitienne de tennis, Ruth Manea, « c’est aussi une manière pour nous d’améliorer le développement du tennis en Polynésie, c’est de rendre professionnel tous les encadrants ». « Nous sommes fiers du parcours de Patoia puisqu’il a une volonté de fer. On l’a vu travailler, il a déjà une attitude de professionnel, maintenant il y a encore des éléments à améliorer. »
Comme Patoia, ils sont une dizaine à suivre cette formation en Polynésie.
« Pour l’obtention de ce diplôme, on me demande de mettre en place un projet pour répondre à un besoin de mon club, explique-t-il. Pour ça, j’ai invité huit joueurs de Tahiti, quatre hommes et quatre femmes, qui viennent ici pour redynamiser le tournoi. »
Un engagement qui réjouit Jean-Louis Deguarra, le président du Tennis Club de Raiatea. Décoré du label club formateur 3 étoiles, le club ne peut que s’épanouir davantage si Patoia devient diplômé d’Etat, et Jean-Louis s’en réjouit déjà.
« C’est une première, je suis très fier et très heureux que Patoia, de tout petit, maintenant c’est lui qui va être le BE, c’est-à-dire le breveté national qui va être à la disposition du club. Il est certain que nous allons avoir beaucoup plus de débouché des enfants, une notoriété plus forte et en tant que président de club, c’est une réussite totale. »
D’ailleurs, pour sa première initiative, Patoia bouscule les habitudes. Il remet en route le tournoi Criterium et se permet même d’ajouter une nouvelle catégorie, celle des femmes.
Pour la présidente de la Fédération tahitienne de tennis, Ruth Manea, « c’est aussi une manière pour nous d’améliorer le développement du tennis en Polynésie, c’est de rendre professionnel tous les encadrants ». « Nous sommes fiers du parcours de Patoia puisqu’il a une volonté de fer. On l’a vu travailler, il a déjà une attitude de professionnel, maintenant il y a encore des éléments à améliorer. »
Comme Patoia, ils sont une dizaine à suivre cette formation en Polynésie.
Rédaction web avec Rony Mou-Fat