« La mort de Cecil est une tragédie. Non seulement car il était un symbole du Zimbabwe mais aussi car nous devons donner pour mort ses six lionceaux car le nouveau mâle dominant ne tolérera pas leur présence afin d’encourager les femelles de Cecil de s’accoupler avec lui« , témoigne le président de l’ONG Zimbabwe Conservation Taskforce au Guardian.
Le braconnier aurait été inculpé par les autorités. Il aurait payé 50.000 dollars à un complice de la réserve pour y accéder et tuer l’animal.
De nombreux touristes fortunés se rendent en Afrique pour chasser. La pratique n’est pas autorisée dans les réserves et parcs nationaux. Pourtant, ils arrivent toujours à se frayer un chemin grâce à des intermédiaires…