« Étant donné l’actuel environnement mondial, il n’est pas faisable de recevoir un grand nombre de visiteurs de haut niveau en Nouvelle-Zélande », a déclaré dans un communiqué le ministre des Affaires étrangères, Winston Peters.
Tenir le sommet APEC en ligne plutôt qu’à Auckland, dans le nord de la Nouvelle-Zélande, est une réaction « pragmatique » à la crise sanitaire mondiale, a estimé M. Peters. « Le Covid-19 a sérieusement affecté la manière dont nous conduisons la diplomatie internationale », a-t-il souligné.
Plus de 20 000 personnes devaient se rendre en Nouvelle-Zélande pour le sommet APEC qui devait réunir 21 nations en novembre 2021 et pour de nombreuses réunions préparatoires.
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La décision de tenir en 2021 un sommet virtuel résout par ailleurs un casse-tête pour les organisateurs, qui peinaient à trouver suffisamment de chambres d’hôtel à Auckland, la construction du site prévu pour le sommet ayant été retardée par un énorme incendie en octobre 2019.