Toute vêtue de noir, cette femme extrêmement agitée « a sorti la tête de l’enfant d’un paquet et a marché un moment dans la rue en criant », a raconté un témoin cité par l’agence publique RIA Novosti. « Personne ne s’est approché d’elle, tout le monde avait peur », a-t-il confié.
« Je déteste la démocratie. Je suis terroriste. Je veux votre mort », a lancé cette femme, dont on entend les propos sur les images vidéo diffusées par la chaîne de télévision russe « 360 ».
« Regardez-moi, je suis une kamikaze. Je vais mourir. Dans une seconde, ce sera la fin du monde », a-t-elle crié, en brandissant la tête d’un enfant.
« J’ai vu que c’était vraiment une tête » que la femme tenait par les cheveux, a raconté un autre témoin de la scène, Aliona Kouratova, à la chaîne de télévision indépendante Dojd.
« Elle faisait des allers-retours en criant », dit Mme Kouratova, en ajoutant que l’arrivée de la police et des ambulances sur les lieux avait provoqué un mouvement de panique, plusieurs passants ayant cru à l’imminence d’un attentat.
Aucune trace d’explosifs n’a toutefois été trouvée sur cette femme, a indiqué l’agence officielle TASS citant des sources policières.
Selon la chaîne de télévision populaire Lifenews, connue pour ses liens avec les services de sécurité russes, Goultchekhra Bobokoulova gardait la petite Nastia, âgée de quatre ans, depuis un an et n’avait pas eu de problème avec les parents. Elle a coupé la tête de la fillette après avoir appris que son mari la trompait.
Selon l’agence Interfax, cette femme de 38 ans est originaire d’Ouzbékistan, ex-république soviétique d’Asie centrale à majorité musulmane.
Selon des témoins cités par des médias russes, elle a crié « Allah Akbar! » au moment de son arrestation.
Contactée par l’AFP, la police de Moscou s’est refusée à tout commentaire.
La rue où a eu lieu l’arrestation et la sortie du métro la plus proche étaient bouclées par la police dans l’après-midi, selon un journaliste de l’AFP sur place.
« Le corps d’un enfant âgé de 3-4 ans, portant des traces de mort violente », a été découvert lundi dans un appartement du nord-ouest de Moscou, ont indiqué les enquêteurs dans un sobre communiqué.
« La nounou, originaire d’un pays d’Asie centrale, née en 1977, a tué l’enfant (…) avant d’incendier l’appartement et de s’enfuir », précise le communiqué. Elle subira un « examen psychiatrique ».
Selon une source policière citée par Interfax, la femme a agi sous l’emprise de stupéfiants.
La mère de la victime a été hospitalisée après la découverte du meurtre, selon la chaîne de télévision Zvezda.
« Je déteste la démocratie. Je suis terroriste. Je veux votre mort », a lancé cette femme, dont on entend les propos sur les images vidéo diffusées par la chaîne de télévision russe « 360 ».
« Regardez-moi, je suis une kamikaze. Je vais mourir. Dans une seconde, ce sera la fin du monde », a-t-elle crié, en brandissant la tête d’un enfant.
« J’ai vu que c’était vraiment une tête » que la femme tenait par les cheveux, a raconté un autre témoin de la scène, Aliona Kouratova, à la chaîne de télévision indépendante Dojd.
« Elle faisait des allers-retours en criant », dit Mme Kouratova, en ajoutant que l’arrivée de la police et des ambulances sur les lieux avait provoqué un mouvement de panique, plusieurs passants ayant cru à l’imminence d’un attentat.
Aucune trace d’explosifs n’a toutefois été trouvée sur cette femme, a indiqué l’agence officielle TASS citant des sources policières.
Selon la chaîne de télévision populaire Lifenews, connue pour ses liens avec les services de sécurité russes, Goultchekhra Bobokoulova gardait la petite Nastia, âgée de quatre ans, depuis un an et n’avait pas eu de problème avec les parents. Elle a coupé la tête de la fillette après avoir appris que son mari la trompait.
Selon l’agence Interfax, cette femme de 38 ans est originaire d’Ouzbékistan, ex-république soviétique d’Asie centrale à majorité musulmane.
Selon des témoins cités par des médias russes, elle a crié « Allah Akbar! » au moment de son arrestation.
Contactée par l’AFP, la police de Moscou s’est refusée à tout commentaire.
La rue où a eu lieu l’arrestation et la sortie du métro la plus proche étaient bouclées par la police dans l’après-midi, selon un journaliste de l’AFP sur place.
« Le corps d’un enfant âgé de 3-4 ans, portant des traces de mort violente », a été découvert lundi dans un appartement du nord-ouest de Moscou, ont indiqué les enquêteurs dans un sobre communiqué.
« La nounou, originaire d’un pays d’Asie centrale, née en 1977, a tué l’enfant (…) avant d’incendier l’appartement et de s’enfuir », précise le communiqué. Elle subira un « examen psychiatrique ».
Selon une source policière citée par Interfax, la femme a agi sous l’emprise de stupéfiants.
La mère de la victime a été hospitalisée après la découverte du meurtre, selon la chaîne de télévision Zvezda.
AFP