Les échanges ont principalement porté sur le projet de convention-cadre entre l’Etat et le Pays, en matière de coopération culturelle, qui devrait être signé début 2017, conformément aux engagements pris par la ministre de la Culture et de la Communication.
Pour rappel, depuis la « Convention pour le développement culturel de la Polynésie française » signée en 1994, aucun accord-cadre n’a été renégocié entre l’Etat et le Pays. Cette convention est ainsi très attendue par la collectivité.
Dans cette perspective, Richard Lagrange, inspecteur général des affaires culturelles, s’était rendu en juillet dernier en Polynésie française, afin de réaliser un état des lieux du paysage culturel polynésien et de définir des priorités.
Une réunion avait eu lieu le 28 novembre au cabinet d’Audrey Azoulay, en présence des directeurs et chefs de service sous-tutelle du ministère, afin de valider les recommandations retenues et prendre en compte les engagements pris par les deux ministres lors de leur rencontre à Paris en octobre dernier.
Le secrétariat général est désormais chargé, en lien avec les directions générales, de proposer un projet de convention-cadre de coopération culturelle entre l’Etat et le Pays.
Les échanges ont, par ailleurs, porté sur les dossiers UNESCO polynésiens. Le rapport définitif de la direction des patrimoines concernant la candidature de Taputapuatea, sera prochainement transmis, avec les amendements nécessaires, en vue de la présentation du dossier au prochain Comité du patrimoine mondial qui se tiendra en juillet 2017 à Cracovie (Pologne).
D’autre part, un point a été fait sur le projet de centre culturel. Heremoana Maamaatuaiahutapu a indiqué que le cabinet d’études retenu par le Pays pour préciser les contours du futur établissement, venait de remettre son rapport de programmation au gouvernement.
Trois cabinets d’architectes ont d’ores et déjà été choisis par le comité de sélection ad hoc, pour une mise en concours dans les prochains mois.
Enfin, Heremoana Maamaatuaiahutapu a abordé avec Marie-Pierre Bouchaudy, le code de la propriété intellectuelle en cours d’élaboration en Polynésie française. Un état des lieux et une étude des textes applicables ont été demandés aux services du ministère de la Culture. Ce travail viendra en soutien de la démarche d’identification des droits perçus et de leur répartition auprès des artistes polynésiens.
Pour rappel, depuis la « Convention pour le développement culturel de la Polynésie française » signée en 1994, aucun accord-cadre n’a été renégocié entre l’Etat et le Pays. Cette convention est ainsi très attendue par la collectivité.
Dans cette perspective, Richard Lagrange, inspecteur général des affaires culturelles, s’était rendu en juillet dernier en Polynésie française, afin de réaliser un état des lieux du paysage culturel polynésien et de définir des priorités.
Une réunion avait eu lieu le 28 novembre au cabinet d’Audrey Azoulay, en présence des directeurs et chefs de service sous-tutelle du ministère, afin de valider les recommandations retenues et prendre en compte les engagements pris par les deux ministres lors de leur rencontre à Paris en octobre dernier.
Le secrétariat général est désormais chargé, en lien avec les directions générales, de proposer un projet de convention-cadre de coopération culturelle entre l’Etat et le Pays.
Les échanges ont, par ailleurs, porté sur les dossiers UNESCO polynésiens. Le rapport définitif de la direction des patrimoines concernant la candidature de Taputapuatea, sera prochainement transmis, avec les amendements nécessaires, en vue de la présentation du dossier au prochain Comité du patrimoine mondial qui se tiendra en juillet 2017 à Cracovie (Pologne).
D’autre part, un point a été fait sur le projet de centre culturel. Heremoana Maamaatuaiahutapu a indiqué que le cabinet d’études retenu par le Pays pour préciser les contours du futur établissement, venait de remettre son rapport de programmation au gouvernement.
Trois cabinets d’architectes ont d’ores et déjà été choisis par le comité de sélection ad hoc, pour une mise en concours dans les prochains mois.
Enfin, Heremoana Maamaatuaiahutapu a abordé avec Marie-Pierre Bouchaudy, le code de la propriété intellectuelle en cours d’élaboration en Polynésie française. Un état des lieux et une étude des textes applicables ont été demandés aux services du ministère de la Culture. Ce travail viendra en soutien de la démarche d’identification des droits perçus et de leur répartition auprès des artistes polynésiens.
Rédaction Web avec communiqué