Hinavei Raveino est professeure de danse au Conservatoire. En 2015, elle s’est présentée comme meilleure danseuse. Son thème se portait sur la pleine lune. « Donc tout ce qui se rapporte à la terre, l’abondance de la terre, de la nourriture, de la pêche, à partir de ce thème on a décidé de commencer la chorégraphie avec un lever de lune, qui était l’idée de Murielle et j’ai beaucoup aimé, et ensuite, au fur et à mesure, on a suivi le texte du thème », nous explique-t-elle.
Pour cette chorégraphie, Hinavei avait un pas de danse préféré : le nuu tifene. » Tu es accroupi en bas et tu avances en faisant des fa’arapu. J’aime bien ce pas parce que je trouve que c’est beau à regarder. Je pense que ce qui est difficile c’est de faire la choré jusqu’à la fin, de connaitre les moments pour respirer, c’est toute cette technicité, je pense », précise Hinavei.
Pour celles qui se présentent au Heiva cette année, et les Heiva à venir, « je les conseille de bien s’appuyer sur le thème et faire en sorte que le public le comprenne à travers votre danse. Avoir une entrée fracassante et une sortie fracassante et puis avoir sa propre personnalité quand tu fais ta chorégraphie et puis créer des mouvements originaux. »
Pour cette chorégraphie, Hinavei avait un pas de danse préféré : le nuu tifene. » Tu es accroupi en bas et tu avances en faisant des fa’arapu. J’aime bien ce pas parce que je trouve que c’est beau à regarder. Je pense que ce qui est difficile c’est de faire la choré jusqu’à la fin, de connaitre les moments pour respirer, c’est toute cette technicité, je pense », précise Hinavei.
Pour celles qui se présentent au Heiva cette année, et les Heiva à venir, « je les conseille de bien s’appuyer sur le thème et faire en sorte que le public le comprenne à travers votre danse. Avoir une entrée fracassante et une sortie fracassante et puis avoir sa propre personnalité quand tu fais ta chorégraphie et puis créer des mouvements originaux. »