Elles leur enseignent les bases de la couture, de la vannerie, de la peinture sur pareu, pour qu’ils puissent en vivre. Près de vingt personnes ont été formé depuis le début des ateliers.
– PUBLICITE –
« Ce sont des jeunes qui ne savaient rien faire. Ils ne sont plus à l’école et ils n’ont pas de travail. Là, ils sont heureux d’apprendre ce savoir-faire. C’est une réussite ! », explique Fabiola Tupana.
Ces artisans en herbe ont pu exposer et vendre leurs produits pendant le Heiva Rima’i. Ils animeront dimanche la dernière journée du salon.