Le traumatisme de la guerre ne lui a pas fait perdre sa joie de vivre. Il évoque ces années avec légèreté : « Moi j’ai été là-bas pour sortir d’ici et aller me promener, je ne savais pas ce que c’était que la guerre. Je voulais aller voir les filles de l’extérieur ! Aujourd’hui je veux dire aux jeunes qu’il faut aller à l’armée ! C’est la seule sortie. Tu es logé, tu as le ma’a, tu es payé, tu as le docteur quand tu es malade mais évidemment il y a aussi des coups durs », lance-t-il avec humour.
«Maxime fait partie de notre histoire. Je pense à tout ce que nous avons vécu ensemble. Nous venons chaque année pour fêter son anniversaire et plus le temps passe, plus il avançait les 100 ans ! C’est chose faite ! », se réjouit le maire de Faa’a.
Espérons que Maxime Aubry fête ses 101 avec la même forme l’année prochaine pour continuer à perpétuer le devoir de mémoire.
Maxime Aubry, heureux de célébrer ses 100 ans :