Chaque année, elles sont de plus en plus nombreuses en provenance du Mexique, des États-Unis ou du Japon à venir suivre nos cours au Conservatoire et chez nos danseurs professionnels. Une start-up a donc conçu des cours online. Et a choisi les meilleurs danseurs des derniers Heiva pour les administrer.
« C’est tout nouveau. C’est surtout destiné à l’international. Beaucoup de personnes viennent en Polynésie pour suivre des cours, notamment au conservatoire. Beaucoup de professionnels polynésiens partent donner des cours à l’étranger. On s’est dit qu’il fallait profiter de cet engouement pour toucher un maximum de personnes, et pour ça, l’idéal, c’est un site internet », explique Terainui Hamblin Ellacott, créatrice de Tahitidanceonline. « Les personnes sont obligées de s’abonner pour avoir accès aux films. On fonctionne par saison, ça permet de varier et d’avoir différents professionnels et savoirs faire. La base, c’est d’abord d’initier les personnes, on s’échauffe, puis on travaille les mouvements. »
« Grâce à Makau Foster, j’ai pu faire pas mal de choses. Je l’ai assistée pour la partie danses traditionnelles de Miss Tahiti… mais c’est vrai qu’une fois qu’on a gagné le titre (NDLR le titre de meilleure danseuse du Heiva), c’est à toi à trouver des moyens pour que ça continue. C’est un moyen pour moi de transmettre ce que je sais. Et ce que je voulais surtout, c’était de donner envie aux gens d’apprendre à danser et de s’amuser tout en faisant du sport« , confie Asia, meilleure danseuse du Heiva 2014, et enseignante de Ori Tahiti online.
Entièrement en anglais, les cours, à destination de l’international, sont hebdomadaires. Actuellement, la saison 3 est en cours de tournage. Une centaine d’abonnés étrangers sont déjà recensés.
« C’est tout nouveau. C’est surtout destiné à l’international. Beaucoup de personnes viennent en Polynésie pour suivre des cours, notamment au conservatoire. Beaucoup de professionnels polynésiens partent donner des cours à l’étranger. On s’est dit qu’il fallait profiter de cet engouement pour toucher un maximum de personnes, et pour ça, l’idéal, c’est un site internet », explique Terainui Hamblin Ellacott, créatrice de Tahitidanceonline. « Les personnes sont obligées de s’abonner pour avoir accès aux films. On fonctionne par saison, ça permet de varier et d’avoir différents professionnels et savoirs faire. La base, c’est d’abord d’initier les personnes, on s’échauffe, puis on travaille les mouvements. »
« Grâce à Makau Foster, j’ai pu faire pas mal de choses. Je l’ai assistée pour la partie danses traditionnelles de Miss Tahiti… mais c’est vrai qu’une fois qu’on a gagné le titre (NDLR le titre de meilleure danseuse du Heiva), c’est à toi à trouver des moyens pour que ça continue. C’est un moyen pour moi de transmettre ce que je sais. Et ce que je voulais surtout, c’était de donner envie aux gens d’apprendre à danser et de s’amuser tout en faisant du sport« , confie Asia, meilleure danseuse du Heiva 2014, et enseignante de Ori Tahiti online.
Entièrement en anglais, les cours, à destination de l’international, sont hebdomadaires. Actuellement, la saison 3 est en cours de tournage. Une centaine d’abonnés étrangers sont déjà recensés.
Laure Philiber
Un cours avec Asia, meilleure danseuse du Heiva 2014, et enseignante de Ori Tahiti online.