Du bâton de bois, à la feuille d’écorce, ils réalisent toutes les étapes de la fabrication du tapa. Avant la confection, les participants ont arpenté les allées du musée, pour comprendre l’importance du rite culturel qu’ils reproduisent.
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« L’étoffe végétale qu’est le tapa, est le symbole même de la hiérarchie sociale. Le tapa reflétait le rang social de celui qui le portait. Il accompagnait le Polynésien de la naissance à la mort, et était utilisé pour tout les rites cérémoniels. » explique Hinatea Colombani, créatrice du centre culturel Arioi.
Désormais, un dimanche par mois le musée vous propose de vous initier à une activité traditionnelle. En avril, c’est le Titiraina que vous pourrez apprendre à fabriquer.