« Je réalise une première ébauche, gratuite, au feutre, et le client voit si ça lui convient avant que l’on ne passe au tatouage proprement dit. » explique Matai au journaliste qui l’interroge, celui racontant que « Tout en discutant, Matai esquisse les contours délicats d’une fleur de vanille, image de la postérité, du bien-être, de l’amour et de la protection, sur le bras gauche d’une cliente qui l’a choisi pour la finesse de ses traits et sa maîtrise des ombres » .
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Expliquant que « le tatouage polynésien raconte une histoire », le journaliste relate que « Matai expose et explique volontiers ses propres tatouages : la protection et la force sur le bras droit, la famille sur le bras gauche », précisant, « Il y a des quantités de signes disponibles symbolisant la force, l’amour, la joie ».
Voila un ambassadeur de plus de la culture polynésienne qui fait découvrir la symbolique des tatouages, histoire que les métropolitains s’enrichissent de la culture du bout du monde. Celle du fenua.