« Le fait d’avoir de la hauteur sous plafond nous permet de pouvoir concevoir des choses énormes et suspendre des objets que l’on a créé. Cela nous donne de la respiration et, comme beaucoup d’entre nous utilise des bombes de peintures pour faire des graffs, avoir de la hauteur permet d’aérer, et c’est idéal pour faire de la création » explique Teva Victor, sculpteur.
Car c’est bien de création qu’il s’agit. D’ailleurs certaines ornent déjà les murs de l’atelier. D’autres sont en cours de réalisation comme ce portrait décalé et projeté sur des bouts de vieux shorts. Une oeuvre, signée Abuse. « J’essaie de faire une représentation de différentes facettes d’une personnalité. J’ai séparé les éléments du visage en plusieurs parties. »
« Nous avons décider chacun de soumettre une œuvre au Pays pour que cela rentre dans les fonds du Pays et que cela puisse être intégré au centre culturel. L’idée est , qu’en contrepartie de la fleur que l’on nous fait, de faire également une offre pour le Pays », selon Hell Ton Jon.