La biennale de Honolulu a commencé le 5 mars et se poursuit jusqu’au 8 mai. La thématique retenue pour ce premier festival d’art contemporaine est « les océans ». 33 artistes internationaux y participent actuellement et parmi eux, un Polynésien, Alexandre Lee. Il est originaire de Mahina. L’artiste du fenua a imaginé une mise en scène originale dans laquelle il expose sa vision de l’océan.
« J’ai fais une série d’impressions qui sont des explosions nucléaires dans le ciel mais qui sont aussi abstraites parfois. Ça devient presque comme des méduses ou comme des choses qui sont en suspend dans l’eau ou dans le ciel. Pour moi c’est une relation non seulement qu’on a avec notre histoire au nucléaire mais aussi, l’image qu’elle reflète est pour moi une équation avec l’image de la formation d’île volcanique qui devient métaphoriquement une explosion nucléaire ».
Pour aider à la compréhension de ses œuvres, l’artiste s’est aidé d’un tambour. Le retentissement de ce dernier rappelle des éruptions volcaniques. La diffusion de sons de tirs ont, quant à eux, été représentés par le bruit de l’ouverture de bouteilles de champagne.
« Ma pratique personnelle a toujours été multiforme », confie Alexander Lee « Ce projet rassemble des impressions car c’est un travail que j’ai commencé avec des impressions de feuilles de ‘uru. J’ai aussi dans la biennale, une série de céramique que j’ai faite à New-York à partir de moulage de feuilles de ‘uru que j’ai enroulées et qui deviennent un peu comme des « rori » ou des coquillages étranges. Pour moi, c’est ça aussi la relation au monde, une relation qu’on ne comprend pas ».
Juste après l’ouverture du festival, le plasticien polynésien s’est envolé à Anvers, en Belgique où il expose dès le mois prochain. L’artiste exposera par la suite à Vienne, au mois de juin.
« J’ai fais une série d’impressions qui sont des explosions nucléaires dans le ciel mais qui sont aussi abstraites parfois. Ça devient presque comme des méduses ou comme des choses qui sont en suspend dans l’eau ou dans le ciel. Pour moi c’est une relation non seulement qu’on a avec notre histoire au nucléaire mais aussi, l’image qu’elle reflète est pour moi une équation avec l’image de la formation d’île volcanique qui devient métaphoriquement une explosion nucléaire ».
Pour aider à la compréhension de ses œuvres, l’artiste s’est aidé d’un tambour. Le retentissement de ce dernier rappelle des éruptions volcaniques. La diffusion de sons de tirs ont, quant à eux, été représentés par le bruit de l’ouverture de bouteilles de champagne.
« Ma pratique personnelle a toujours été multiforme », confie Alexander Lee « Ce projet rassemble des impressions car c’est un travail que j’ai commencé avec des impressions de feuilles de ‘uru. J’ai aussi dans la biennale, une série de céramique que j’ai faite à New-York à partir de moulage de feuilles de ‘uru que j’ai enroulées et qui deviennent un peu comme des « rori » ou des coquillages étranges. Pour moi, c’est ça aussi la relation au monde, une relation qu’on ne comprend pas ».
Juste après l’ouverture du festival, le plasticien polynésien s’est envolé à Anvers, en Belgique où il expose dès le mois prochain. L’artiste exposera par la suite à Vienne, au mois de juin.
Rédaction Web avec Laure Philiber