Interpellé par les gendarmes dans le cadre d’un autre dossier, le principal mis en cause s’était de lui-même dénoncé pour la trentaine de cambriolages. Il avait ensuite mené les enquêteurs sur les diverses habitations qu’ils avaient prises pour cible. « S’il n’avait pas parlé de tout ça, personne n’aurait su que c’est lui qui avait commis tout ces vols », a souligné le président du tribunal.
Si le monte-en-l’air a écopé de deux années de détention à Nuutania, ses complices ont été condamnés à des peines allant de la simple amende à quatre mois de prison ferme. Tous devront également dédommager les nombreuses victimes de ces vols.