La cour de cassation s’est mise en délibérée jusqu’au 23 juillet sur le pourvoi de Gaston Flosse dans l’affaire des emplois fictifs, dont les faits reprochés remontent aux années 1990 et 2000. La cour d’appel de Papeete avait condamné Gaston Flosse en février 2013 à 4 ans de prison avec sursis, 125 000 euros (près de 15 millions Fcfp) d’amende et trois ans de privation de ses droits civiques.
Mais il s’est pourvu en cassation. L’application de la décisions du tribunal de Papeete est donc suspendue à la décision de la Cour de cassation. L’audience se tenait ce mercredi 25 juin. Les avocats de la défense ont plaidé sur 11 moyens de cassation, autant de raisons d’annuler les condamnations du tribunal de Papeete. Mais l’avocat général pour qui « Gaston Flosse est un alchimiste qui transforme le plomb en or avec l’argent public » a préconisé le rejet de ce pourvoi.
Ce n’est donc que le 23 juillet que Gaston Flosse saura s’il peut poursuivre ses mandats de président de la Polynésie française et de sénateur, ou bien mettre entre parenthèse sa carrière politique pour redonner le flambeau à Édouard Fritch.
Mais il s’est pourvu en cassation. L’application de la décisions du tribunal de Papeete est donc suspendue à la décision de la Cour de cassation. L’audience se tenait ce mercredi 25 juin. Les avocats de la défense ont plaidé sur 11 moyens de cassation, autant de raisons d’annuler les condamnations du tribunal de Papeete. Mais l’avocat général pour qui « Gaston Flosse est un alchimiste qui transforme le plomb en or avec l’argent public » a préconisé le rejet de ce pourvoi.
Ce n’est donc que le 23 juillet que Gaston Flosse saura s’il peut poursuivre ses mandats de président de la Polynésie française et de sénateur, ou bien mettre entre parenthèse sa carrière politique pour redonner le flambeau à Édouard Fritch.