L’affaire avait défrayé la chronique jusqu’en Europe, il y a trois ans. Arihano Henri Haiti avait même été taxé de cannibalisme. Il ne s’agissait que de rumeurs infondées. Malgré tout, une telle affaire de meurtre et de bûcher est unique en Polynésie française. Ce matin, la première journée du jugement en cour d’assises s’est ouverte sous haute surveillance. La gendarmerie a mis d’importants moyens pour transférer l’accusé de la prison de Nuutania jusqu’au tribunal à Papeete. Il est pourtant calme, sans agressivité décelable. Quelques antécédents de vols et de bagarres, mais rien qui laisse transparaître les crimes dont il est accusé.
A quelques mètres, son père Joseph Haiti est là pour le défendre.
Me Yves Piriou est l’avocat de la famille Ramin restée en Allemagne. Me Marie Eftimie-Spitz défend quant à elle Heike Dorsch, la femme de la victime.
Pour le lieutenant-colonel William Lallemand, directeur d’enquête de la gendarmerie nationale, l’affaire, sans témoin, est particulièrement délicate.
Me Vincent Dubois, l’avocat de Arihano Henri Haiti, sait que son client risque la prison à perpétuité. Le verdict sera rendu vendredi.
Regardez ce reportage TNTV.
A quelques mètres, son père Joseph Haiti est là pour le défendre.
Me Yves Piriou est l’avocat de la famille Ramin restée en Allemagne. Me Marie Eftimie-Spitz défend quant à elle Heike Dorsch, la femme de la victime.
Pour le lieutenant-colonel William Lallemand, directeur d’enquête de la gendarmerie nationale, l’affaire, sans témoin, est particulièrement délicate.
Me Vincent Dubois, l’avocat de Arihano Henri Haiti, sait que son client risque la prison à perpétuité. Le verdict sera rendu vendredi.
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