Le manœuvre aux commandes de la drague a écopé de 80 000 Fcfp d’amende avec sursis, le chef d’équipe à 80 000 francs d’amende et la société JL Polynésie, personne morale, à 500 000 Fcfp.
Le directeur de l’entreprise a, lui, été relaxé. Le tribunal a estimé qu’il ne pouvait être tenu pour responsable de l’accident dans la mesure où la direction organisait régulièrement de formations en matière de sécurité et mettait le matériel adéquat à disposition de ses salariés.
Une audience se tiendra au tribunal du travail pour déterminer les dommages et intérêts que percevra la victime. Ses blessures lui avaient valu 3 mois d’incapacité de travail et, aujourd’hui, il souffre d’un handicap permanent de 1%.