En se rendant sur la zone, les gendarmes ont identifié en bord de route « plusieurs personnes et véhicules ». Ils ont relevé un « trouble à la tranquillité d’autrui par agression sonore, avec saisie du matériel d’émission et d’amplification de la musique d’une valeur estimée à 300.000 francs », selon une publication de la gendarmerie.
Elle « rappelle que les agressions sonores en vue de troubler la tranquillité d’autrui sont punies d’un an d’emprisonnement et de 1.800.000 de francs d’amende, et que l’ensemble du matériel ayant servi à commettre le délit peut être saisi, y compris le véhicule ».