Stéphanie dénonce un acte de barbarie et réclame que justice soit faite. « C’était vraiment un choc : c’était horrible, c’était ignoble… », dit elle les larmes aux yeux. « Pour moi, avoir atteint un seuil de cruauté pareil… la seule chose qu’il leur reste c’est d’augmenter la taille de leurs victimes. On ne peut pas laisser ça passer », ajoute Stéphanie. Pour elle il est nécessaire que les gens prennent conscience « de cette cruauté animale existante en Polynésie ». Une enquête est en cours.
L’histoire tragique de tuki rappelle celle de blanc blanc, cette chienne égorgée par son maître en juin dernier. Blanc Blanc n’avait pas survécu des suites de ses blessures. Son ancien maitre sera présenté devant le juge le 15 janvier . Il risque 2 ans d’emprisonnement et 3,58 millions de Fcfp d’amende pour acte de cruauté envers un animal domestique.
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