Sur place, les agents des douanes découvrent 84 litres d’alcool frelaté (komo puaka) contenus dans deux fûts en plastique. Cet alcool était destinée à être vendu dans le quartier d’Arue.
« Tuer une tortue ou commercialiser sa chair, rappelle les douanes, expose le contrevenant à des peines pouvant aller jusqu’à deux ans de prison et 17 800 000 XPF d’amende. Fabriquer, détenir ou vendre du komo puaka expose l’infracteur à une amende de 1 073 900 XPF ».