Le tavana avait fait appel de cette condamnation pour prise illégale d’intérêts et recel d’abus de confiance. Il lui est reproché d’avoir bénéficié d’un séjour aux États-Unis grâce à l’association Ia Ora Papara dont il était le président d’honneur et dont les fonds provenaient en partie de subventions de la commune.
La cour d’appel rendra sa décision le 17 octobre.