Ce dernier est accusé d’avoir fondu des bijoux achetés auprès de cambrioleurs, mais aussi d’avoir lésé une veuve qui lui avait confié la vente d’une parure de grande valeur. Les enquêteurs avaient également découvert dans ses bureaux 52 kg de perles dont il ne saurait justifier la provenance. Son avocat a demandé une peine plus légère, estimant que l’instruction du dossier s’était faite à charge.
La cour d’appel rendra sa décision le 22 août.