La veille du forum des îles du Pacifique est traditionnellement consacrée à une rencontre entre les petits États insulaires. Mardi 29 juillet à Palau, ils ont parlé notamment du diabète et de l’obésité, car ces questions de santé coûtent très cher. Ils ont également abordé la principale crainte des archipels : la montée des eaux.
Chaque année, les eaux de l’océan montent un peu plus, et chaque année, les petits États du Pacifique alertent l’Onu et les grandes nations. Mais l’occident continue à polluer, tandis que l’Océanie se noie peu à peu. La mer monte, et les tempêtes qui frappent les côtes sont de plus en plus dévastatrices. Les îles exigent donc des moyens pour se protéger. La plupart y croient encore, et ces rencontres permettent de confronter les expériences. Les échecs, comme les succès
Certains pays, comme la Nouvelle-Zélande, ou certaines îles hautes, comme Tahiti, ont déjà proposé d’héberger des réfugiés climatiques, si des Océaniens devaient un jour abandonner leur île. Mais la plupart des chefs d’État sont catégoriques : pas question pour eux de quitter leur terre.
Tous les océaniens lancent donc un vibrant appel aux pays occidentaux : « cessez de polluer, stoppez le réchauffement climatique, ou nous disparaîtrons ».
Un reportage de nos envoyés spéciaux de TNTV.
Chaque année, les eaux de l’océan montent un peu plus, et chaque année, les petits États du Pacifique alertent l’Onu et les grandes nations. Mais l’occident continue à polluer, tandis que l’Océanie se noie peu à peu. La mer monte, et les tempêtes qui frappent les côtes sont de plus en plus dévastatrices. Les îles exigent donc des moyens pour se protéger. La plupart y croient encore, et ces rencontres permettent de confronter les expériences. Les échecs, comme les succès
Certains pays, comme la Nouvelle-Zélande, ou certaines îles hautes, comme Tahiti, ont déjà proposé d’héberger des réfugiés climatiques, si des Océaniens devaient un jour abandonner leur île. Mais la plupart des chefs d’État sont catégoriques : pas question pour eux de quitter leur terre.
Tous les océaniens lancent donc un vibrant appel aux pays occidentaux : « cessez de polluer, stoppez le réchauffement climatique, ou nous disparaîtrons ».
Un reportage de nos envoyés spéciaux de TNTV.