Le président Edouard Fritch, accompagné des députés Maina Sage et Jean-Paul Tuiava, ainsi que de Thierry Nhun Fat, son conseiller spécial, a été reçu durant une heure aujourd’hui, mercredi, à l’hôtel Matignon, à Paris, par le Premier ministre Manuel Valls. Au centre des échanges, le financement du RSPF, la rétrocession des terrains militaires et la défiscalisation.
« Le Premier ministre a une très bonne connaissance de nos dossiers qu’il s’agisse de solidarité ou encore de la rétrocession des terrains militaires » a déclaré le président de la Polynésie française au sortir de son entretien avec Manuel Valls. Aux yeux d’Edouard Fritch, cela présage d’un soutien entier de Matignon à la Polynésie française : « ça nous donne beaucoup d’espoir pour que l’Etat nous accompagne réellement dans le redressement de la situation de notre pays. D’autant que nous avons les éléments de la stabilité aujourd’hui. Trente huit représentants sur 57 qui nous font confiance. Des représentants qui ,eux aussi, souhaitent voir la stabilité s’installer en Polynésie ». » Je ne crois pas qu’il y ait la possibilité d’un retour d’une instabilité quelconque », a-t-il souligné.
« Le Premier ministre a une très bonne connaissance de nos dossiers qu’il s’agisse de solidarité ou encore de la rétrocession des terrains militaires » a déclaré le président de la Polynésie française au sortir de son entretien avec Manuel Valls. Aux yeux d’Edouard Fritch, cela présage d’un soutien entier de Matignon à la Polynésie française : « ça nous donne beaucoup d’espoir pour que l’Etat nous accompagne réellement dans le redressement de la situation de notre pays. D’autant que nous avons les éléments de la stabilité aujourd’hui. Trente huit représentants sur 57 qui nous font confiance. Des représentants qui ,eux aussi, souhaitent voir la stabilité s’installer en Polynésie ». » Je ne crois pas qu’il y ait la possibilité d’un retour d’une instabilité quelconque », a-t-il souligné.