A la question de savoir, si elle était élue, quelle serait sa relation avec le gouvernement Fritch qui a appelé à voter contre elle, Marine Le Pen explique. « Si je suis élue, (…) nous aurons un dialogue constructif. (…) . »
Quant à savoir si le soutien de Gaston Flosse, l’élu le plus condamné de France, n’est pas en contradiction avec son désir de mettre fin aux magouilles politiciennes, la candidate frontiste rétorque: « Quand il en va de l’intérêt supérieur du Pays, je crois que tous les patriotes doivent se réunir. »