« On a planté des plantes aromatiques, des patates douces, des mangues, des papayes, des bananes, des haricots… On démontre aux enfants qu’ils peuvent se nourrir de ce qu’ils plantent et qu’ils peuvent vendre leur produit. Ils comprennent qu’il faut travailler pour avoir de l’argent et se nourrir, vivre » explique Mereana Alexandre, présidente de l’association.
Tous souhaitent que ce partenariat perdure. « On les sent vraiment complètement investis, on sent que ce n’est pas une punition. De voir leur sourire et leur épanouissement, cela fait vraiment plaisir (…) On va développer ce partenariat et voir même si on peut faire deux opérations par an pour continuer à financer ces projets » a expliqué Philippe Mergel, le représentant de la marque D’Aucy.
Le Centre Papa nui souhaiterait développer son potager, mais il lui faudrait pour cela plus d’espace. L’association Fare Heimanava aimerait aussi pouvoir agrandir le centre qui ne peut recevoir qu’une trentaine de trisomiques. Plusieurs demandes ont été refusées, faute de place.