« Les gens pensent plutôt que je suis travailleuse et coincée, comme je suis assez bonne élève, sauf que ce n’est pas l’image que je veux donner de moi« . Être bonne élève est une belle récompense pour les efforts fournis, mais ce n’est pas toujours facile à vivre pour Linda Mou Chi Youk. À 17 ans, elle est la meilleure bachelière parmi les 5345 élèves qui ont passé leur baccalauréat cette année. Si elle a obtenu la note de 19.8/20, ce n’est pas un hasard. Linda a toujours, malgré elle, été bonne élève. « Depuis qu’elle est petite, elle a toujours bien travaillé, je suis super contente », confie sa mère.
Une fierté pour la famille Mou Chi Youk. Linda suit la lignée de son père et de son frère qui ont aussi excellé dans leurs scolarités. Tous les deux ont suivi des études de commerces. Le business, le commerce, c’est une histoire de famille. La jeune bachelière projette aussi de poursuivre dans cette filière. Elle va intégrer une école de commerce à la rentrée prochaine à Montréal.
Pour intégrer cette école, elle a dû faire beaucoup d’efforts. « Elle travaillait beaucoup, et ne dormait presque pas. Elle se levait à 3h30 pour réviser », dévoile Alène Mou Chi Youk, la mère de Linda. Elle n’a pas attendu les dernières semaines pour revoir ses cours. Studieuse, elle a commencé à travailler dès le mois d’août. La major des bacheliers est une jeune femme qui en veut ! « Quand je me donne un objectif je fais tout pour l’atteindre je ne lâche pas en cours de route, et je suis très patiente », confie-t-elle. Des qualités parmi tant d’autres. Car Linda parle plusieurs langues : le haka, le mandarin et l’espagnol. Des atouts qui lui serviront dans ses futures études.
Mais Linda regrette que l’étiquette de la bonne élève lui soit collée. « Comme je suis assez bonne élève, sauf que ce n’est pas l’image que je veux donner de moi, par exemple si je rate mon examen, tout le monde aura les yeux rivés sur moi parce qu’ils se disent que je suis une bosseuse et ce n’est pas vraiment l’image que je veux donner de moi. Du coup avec mes amis, j’essaie de sortir plus souvent, de faire la fête. » À côté de ses études, Linda joue de l’alto, un instrument à cordes, et comme les jeunes de sa génération, elle aime regarder des séries télévisées.
Linda fêtera ses 18 ans dans quelques jours et quittera le fenua pour Montréal où elle poursuivra ses études dans une école de commerce.
Rédaction Web (Interview Tauhiti Tauniua)
Une fierté pour la famille Mou Chi Youk. Linda suit la lignée de son père et de son frère qui ont aussi excellé dans leurs scolarités. Tous les deux ont suivi des études de commerces. Le business, le commerce, c’est une histoire de famille. La jeune bachelière projette aussi de poursuivre dans cette filière. Elle va intégrer une école de commerce à la rentrée prochaine à Montréal.
Pour intégrer cette école, elle a dû faire beaucoup d’efforts. « Elle travaillait beaucoup, et ne dormait presque pas. Elle se levait à 3h30 pour réviser », dévoile Alène Mou Chi Youk, la mère de Linda. Elle n’a pas attendu les dernières semaines pour revoir ses cours. Studieuse, elle a commencé à travailler dès le mois d’août. La major des bacheliers est une jeune femme qui en veut ! « Quand je me donne un objectif je fais tout pour l’atteindre je ne lâche pas en cours de route, et je suis très patiente », confie-t-elle. Des qualités parmi tant d’autres. Car Linda parle plusieurs langues : le haka, le mandarin et l’espagnol. Des atouts qui lui serviront dans ses futures études.
Mais Linda regrette que l’étiquette de la bonne élève lui soit collée. « Comme je suis assez bonne élève, sauf que ce n’est pas l’image que je veux donner de moi, par exemple si je rate mon examen, tout le monde aura les yeux rivés sur moi parce qu’ils se disent que je suis une bosseuse et ce n’est pas vraiment l’image que je veux donner de moi. Du coup avec mes amis, j’essaie de sortir plus souvent, de faire la fête. » À côté de ses études, Linda joue de l’alto, un instrument à cordes, et comme les jeunes de sa génération, elle aime regarder des séries télévisées.
Linda fêtera ses 18 ans dans quelques jours et quittera le fenua pour Montréal où elle poursuivra ses études dans une école de commerce.
Rédaction Web (Interview Tauhiti Tauniua)