La fédération des interprofessionnels des services de santé en Polynésie lance étude en interne pour déterminer l’état de santé des agents et personnels de l’établissement. « Pour le moment, on a décidé de recueillir les avis de tout le monde avec des thématiques notamment sur la souffrance avec tous les indicateurs, le management et tout le reste. C’est sûr qu’on va se réunir encore une fois. On voit vendredi faaterehau donc on n’est pas à l’abri. Ils nous ont dit « les JO arrivent, on n’attendra pas les JO » « C’est sûr qu’il y aura un mouvement de grève quand ça n’ira plus. Bien sûr, on n’aura qu’une revendication : donnez nous les moyens de travailler dans de bonnes conditions pour la santé de tous« , prévient Mireille Duval, secrétaire générale de la FISSAP (fédération des interprofessionnels des services de santé en Polynésie).
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Une rencontre est prévue vendredi avec le ministre de la Santé : « Ce mouvement dépendra du 1er mai, de la rencontre de vendredi, de beaucoup de choses. On a d’autres moyens, mais le plus gros risque d’arriver très très vite. Peut-être dans moins de 15 jours. »