La médecine légale du vivant pour mieux examiner les lésions des victimes

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COMMUNIQUE - Une convention relative aux modalités d’organisation de la médecine légale du vivant, a été signée, ce mardi, à la Présidence. L’objectif est de mieux examiner, médicalement et biologiquement, les victimes d’infraction pénale en Polynésie française

Publié le 22/12/2021 à 9:02 - Mise à jour le 22/12/2021 à 9:02

COMMUNIQUE - Une convention relative aux modalités d’organisation de la médecine légale du vivant, a été signée, ce mardi, à la Présidence. L’objectif est de mieux examiner, médicalement et biologiquement, les victimes d’infraction pénale en Polynésie française

Renforcer la médecine légale du vivant, tel est le souhait un souhait du ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti. L’outil est indispensable aux enquêtes policières et judiciaires puisqu’elle permet de constater les lésions et les traumatismes sur les victimes.

Grâce à la signature d’une nouvelle convention sur les modalités d’organisation de la médecine légale du vivant, les enquêteurs se verront fournir des certificats médicaux plus précis et qui peuvent être produits en justice, afin de résoudre de façon plus détaillée et rapide les affaires autour des violences ou décès, survenues sur la voie publique.

A ce jour, le CHPF est pourvu d’un service d’autopsie qui gère les décès suspects. La cellule en charge de la médecine légale du vivant sera également basée à l’hôpital du Taaone. Pour sa mise en place, l’Etat a doté le CHPF d’une subvention à hauteur de 100 millions de Fcfp. En contrepartie, la direction du CHPF mettra les moyens en ressources humaines et matérielles, pour le bon fonctionnement de la cellule.

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